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Sur les pavés, d’une ruelle sombre de whitechapel
la pluie couvre mes pas à la recherche d’une nouvelle proie
funèbre est mon destin, funeste est le dessein
de cette lame dans ma main, constamment assoiffée de chagrin
Une boucanière, vulgaire, frivole, m’accoste et me racole
je la suis tel un chien en rut, mon schlass désire cette pute
pragmatique, ésotérique, de mon vit je la trique
excité par le gout du sang, impatient j’entreprends
Cette fleur du macadam, n’a plus rien d’une dame
découpée, lacérée, j’ai pris plaisir à violer son âme
jetée en pâture, à des porcs désœuvrés
désormais libérée, de ma main froide et ensanglantée
Éventrée, comme pour laisser ma signature
mutilée, mais préservant sa chevelure
Ordonné, j’essuie ma lame et mon gourdin
Stimulé, j’ai déjà faim du lendemain
Je suis ta lumière de rédemption
In medio stat virtus
De toute mon âme j’exècre ta dépravation
Sanctifiée
Tes pratiques sodomites
m'interpellent, me surexcitent
J'aime sentir les effluves de ton sang
sublimant ton corps appétissant
Éventrée, comme pour laisser ma signature
mutilée, mais préservant sa chevelure
Ordonné, j’essuie ma lame et mon gourdin
Stimulé, j’ai déjà faim du lendemain
Tes pratiques sodomites
m'interpellent, me surexcitent
J'aime sentir les effluves de ton sang
sublimant ton corps appétissant
Mon père j'ai péché
mais je l'ai sauvé
est ce qu'elle méritait
putain d'babylonienne
c'est une brebis égarée
c'est une pute dépravée
Accorde nous ton pardon
Je vomis ta piété
Ses viscères à tes pieds
Durcissent ma satiété
Au nom du père et du vice
Libérée, Sanctifiée !
Je te hais, babylonienne aux mœurs impures
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